Un pas Un pas en avant un pas en arrière, amélioration sans vraiment l’être Un pas en avant un pas en arrière, ça avance pas mais ça bouge un peu Un pas en avant un pas en arrière, amélioration sans vraiment l’être Un pas en avant un pas en arrière, ça avance pas mais ça bouge un peu j’efface des phrase non dites, verbalement inadéquate, incompatible personnage ça parle de tout de la vie, de mettre de l’huile sur le feu, ou de fondre en larme j’ai des ruines a reconstruire, j’ai une friche a démolir, avant de la racheter penser au fric, financer sa fiancé demander des subventions pour avoir des remords en or on s’en mord les doigts en acceptant de servir la science, aucune menace détecté vous êtes clean propre, un peu trop suisse, pisser dans la bouffe d’un banquier, bizarrerie humaine, on s’attache, on aide les pauvres lorsqu’ils ne sont pas très nombreux, ça rend humble de gravir les sommet, sur le toit du monde, comme des toilette a ciel ouvert… Un pas en avant un pas en arrière, amélioration sans vraiment l’être Un pas en avant un pas en arrière, ça avance pas mais ça bouge un peu Un pas en avant un pas en arrière, amélioration sans vraiment l’être Un pas en avant un pas en arrière, ça avance pas mais ça bouge un peu. Surmonter les dangers, passer au-delà des difficultés, devenir plus fort, plus gourmand, se tailler les dents pour vider le monde de son sang. Remplir de rien, que dalle dans les remords, lorsque qu’ils sont en or, ils sont moins lourd qu’ils n’y paressent. Défragmenter le dédale des chemins foireux pour en faire une allée sans issue, y construire des pavillons de luxe avec les ruines. Des briques au goût de sang, des bout d’enfants c’est bien aussi, c’est vachement tendance, c’est la vie qui repose sur la mort des autres, le cycle éternel, l’évolution Un pas en avant un pas en arrière, amélioration sans vraiment l’être Un pas en avant un pas en arrière, ça avance pas mais ça bouge un peu Un pas en avant un pas en arrière, amélioration sans vraiment l’être Un pas en avant un pas en arrière, ça avance pas mais ça bouge un peu Un pas en avant un pas en arrière,Un pas en avant un pas en arrière. Un pas en avant un pas en arrière, amélioration sans vraiment l’être Un pas en avant un pas en arrière, ça avance pas mais ça bouge un peu Un pas en avant un pas en arrière, un pa…

Faire autrement les choses il faut faire autrement les choses, il faut faire autrement les choses, il faut faire autrement les choses, il faut faire ! Faire ! Jamais courir, être en retard dans son avance. Mordre la poussière et aimer ça. Envoyer des lettres d’amour anonyme. Des vestiaires vitré pour tous, cultivé l’incultivable dans des terre en béton. il faut faire autrement les choses, il faut faire autrement les choses, il faut faire autrement les choses, il faut faire ! Faire ! Fermer les portes pour mieux s’ouvrir, contempler les chutes, applaudir l’échec, réchauffer la chaleur, admettre la froideur. Un puit a foudre, tout a foutre ! s’intéresser à la détresse, détruire, refaire, dormir peu pour vivre plus, lutter contre le calme. Le bruit… le bruit est synonyme de vie, antonyme qui s’attire, faiblesse en devenir, tenir le coup, aller droit devant, faire mieux n’est pas une condition il faut faire autrement les choses, il faut faire autrement les choses, il faut faire autrement les choses, il faut faire ! Faire ! Faire ! il faut faire autrement les choses, il faut faire autrement les choses, il faut faire autrement les choses, il faut faire ! Il faut s’emballer de détails, info pratique, torture douce et cocon a pointe. Les déchets feront notre bonheur ! Planter une brique et faire pousser une maison, planter une maison et faire pousser une ville, une ville dans le coeur, palpitations… faire et défaire, il faut faire et défaire, de la musique pour les sourds ! Faire trembler les fondations, une poutre métallique qui s’incline, attentat comique, effusion de joie tisane au café energy drink somnolent. Fuir au même endroit venir du même milieu, se mélanger, se fondre, là ou les barrières s'effondrent. Se dédouaner de toute contrainte, il faut faire autrement, tout et rien a la fois. Se laisser déborder, sortir la tête de l’eau. Vider la salle pour mieux la remplir, pleurer en public et rire seul, il y a beaucoup de chose à donner beaucoup de choses a prendre aussi. Détruir au profit de faire, car il faut faire autrement, changer les manière, ses pensées arrières. Faire autrement les choses, Faire autrement les choses ! Faire autrement les choses, Faire autrement les choses… faire ! Faire !

Ville fantôme Il était une foie en l’humanité déjà bien arraché à ses principes une foule de gens qui se battent pour des pourcent de réductions de primes un constat, la rédaction déprime, une ville fantôme remplie de friches les seuls à avoir quitté le navire sont les capitaines dans les rues ou défile des ombres devant les vitrines vides, des gens livide les seuls commerces à avoir une espérance de vie plus ou moins longue sont : les agences d’emplois et les pharmacies on jette du job sur la place publique et on admire la baston monumentale C’est quand on a rien a perdre que l’on devient un fait divers C’est quand on a rien a perdre que l’on devient un fait divers C’est quand on a rien a perdre que l’on devient un fait divers C’est quand on a rien a perdre… la situation dégénère, une vie poussé au bord du précipice une situation qui génère du fait divers, il faut tenir bon, il faut se battre de tous les côtés tout en gardant le sourir, contempler le gouffre chaque soir avant de se coucher des nuits blanche par dizaines, des litres de sueur froide, au début, ça va on comprends pas ce qu’il se passe alors on donne notre main a une sorte de machine et elle nous avale instantanément le bras, des rouages énorme a faire tourner la tête un cirque ou les animaux ont été remplacé par des gens dresser, docile, fragile, ne pas savoir pour qui on danse C’est quand on a rien a perdre que l’on devient un fait divers C’est quand on a rien a perdre que l’on devient un fait divers C’est quand on a rien a perdre que l’on devient un fait divers C’est quand on a rien a perdre… C’est quand on a rien a perdre que l’on devient un fait divers C’est quand on a rien a perdre que l’on devient un fait divers C’est quand on a rien a perdre que l’on devient un fait divers C’est quand on a rien a perdre ! l’étonnement du début a vite fini par lasser, comme un vieux couple, une routine compter les centimes, acheter périmé à s’en rendre malade consultation, auscultation, on recommence à prier pour que les chiffres des factures s'effacent l’angoisse se transmet comme un rhume, à force de jouer sur les fils du rasoir on a les pieds en sang personne s’en inquiète, tout le monde sourit, hurler à s’en démettre la mâchoire récolter un silence pesant, encore un tour de danse mettez vous à genoux devant la machine à emplois quand toute les options auront échoué il restera la chute, le gouffre, ne plus prendre les petites pilules qui empêche de pleurer s’en foutre ! C’est quand on a rien a perdre que l’on devient un fait divers ! C’est quand on a rien a perdre que l’on devient un fait divers ! le mauvais exemple à ne pas suivre, le risque extrême de perdre la tête il faudrait faire quoi, arrêter d’y penser ? arrêter de courir ? s’assoire ? regarder le soleil se coucher dans le trou béant et quitter la ville fantôme les pieds devant

Ça s’appelle la vie ça s’appelle la vie mon petit, c’est une lutte entre deux manchots, c’est une quête sans calice c’est une enquête sans indice ça s’appelle la vie mon petit, des fois c’est beau des fois c’est moche, des fois on brille, des fois on s’oublie mais des fois on se casse d’ici. Boire en groupe, c’est mieux pour le moral. Louper sa fin de vie, sa date de péremption se faire livrer une pizza au cimetière retour en arrière, droit devant ça fait un peu peur Merci de lire à l’envers ce que j’ai écris en reculant. Le sens sera alors conserver et vous comprendrez pourquoi reculer c’est super le reflet de la tv pourrait être dans le bon sens, vu que tout va de travers j’ai déraper en reculant, alors ça s’appelle comment ? ça s’appelle la vie mon petit c’est une lutte entre deux manchots, c’est une quête sans calice c’est une enquête sans indice ça s’appelle la vie mon petit, des fois c’est beau des fois c’est moche, des fois on brille mais des fois on se casse d’ici. j’ai pas un bout de dignité entre les dents ? Retourne d'où tu viens mais n’essaies pas de me relire avale droit, soit heureux, plains toi, mènes ou tu veux ta barque on s’en branle. Un dyslexique dans un giratoire doit en faire 5 fois le tour avant de se tromper faire semblant d’entrer dans un monde, repartir aussi sec, se confronter aux portes d’entrée et aux portes de sortie, des fois c’est les mêmes, même pas besoin de la lâcher ni de la fermer, juste jeter un œil, et partir. ça s’appelle la vie mon petit c’est une lutte entre deux manchots, c’est une quête sans calice c’est une enquête sans indice ça s’appelle la vie mon petit, des fois c’est beau des fois c’est moche, des fois on brille mais des fois on se casse d’ici. Une facture dans le dos, foire des gens désarticulé par la distraction faire le plein pour 5 ans toujours visé l’avenir avec un fusil de sniper… Suspens dans la salle ! Quelle sera le prochain mot qui formera la prochaine phrase ? Le vers du nez ? Ivre ! Je rentrerai dans n’importe quel mur a pied dire a demi mots que la demi phrase en vaut deux, tant mieux ! La chance m’a abandonné avec le trèfle a je ne sais plus combien de feuille compter c’est trop has been, ou trop dur, ou trop futurs générations payer ces impôts sur un calcul insaisissable, faites vos propre défaite du village et les crevards seront toujours en costard ça s’appelle la vie mon petit c’est une lutte entre deux manchots, c’est une quête sans calice c’est une enquête sans indice ça s’appelle la vie mon petit, des fois c’est beau des fois c’est moche, des fois on brille mais des fois on se casse d’ici.

Attendre trop mal c’était un accord sur fond de légères dissonances accord tactile principalement joindre les deux bouts, une vis plutôt qu’un rivet à la fin on fera comme si de rien était comme si c’était un match nul, une belle course ou le résulat n’importe pas des douleurs des peurs des silences, attendre plusieurs mois avec une musique d’attente une tornade dans un aquarium, des rires il ne reste plus qu’un lointain écho c’est dommage, je n’ai jamais vraiment aimer les échos, échos échos échos être heureux par intérim. savoir la date du malaise malheureusement, c’était hier le passé se construit de façon différente du jour présent difficile à croire, pleins les yeux, les mémoires qui ne suffisent pas je pensais pourtant avoir fait le plein, avoir fait le tour avoir tout misé sur le dernier cheval les paris s’affolent, les compteurs tapent dans le rouge absurde situation et un mystère qui reste entier et un cimetière qui reste hanté on a ouvert nos armoirs à cadavre l’une en face de l’autre on a voulu sauver tous les chatons du monde dont on a fait le tour en 80 jours et des poussières on a écumé les même routes, dans des direction opposés et si les caractère était des poids, on serait mort depuis longtemps et si la mort était un poid, alors on aurait tester la non gravité saupoudrer les souvenir de remords semble tellement mieux que de saupoudrer de remords le néant et dans l’abysse du microscopique partir, et ne savoir quoi dire partir, et ne plus savoir quoi dire aller vite dans l’espoire de semer ces arrière pensés mais elle s’accrochent comme une ombres durant un jours sans fin un requin dans un cirque, une cible dans la tête un clown pour rire ou pleurer à l’entrée du chapiteau inventer des mots qui n’existent pas exterminer ceux qui sont dégueulasse faire comme si la vie était facile comme si un sourire aidait à respirer comme si ça avait toujours été ainsi travailler à l’édification de la même tranchée se terrer, se cacher à présent comme si l’on avait remuer trop de vase pour distinguer l’avenir attendre et pourtant ! attendre trop mal

Impasse On est si bien dans notre impasse. Il fait si bon dans notre impasse. A force de regarder les murs autour, ils grossissent. Ils prennent de la hauteur, ce qui est était un palissade en bois est devenue un rempart. La lumière disparaît comme dissipée, il faudrait une certaine discipline dans l’errance. Des pensées qui vagabondent, alors que cet amas d’os et de chair stagne. Une échelle trop petite, un ascenseur vide qui ne mène jamais ou il faut. Sans issue, car la marche arrière est interdite. On a trop écouter les autres, sont instinct c’est éteint. Tourner en ronds comme un mouche, enfermée dans une bouteille. Attirer par le vide, on s’y précipite. Il fait si bon dans notre impasse, faudra peut-être que tu y passes. Il fait si bon dans notre impasse, il y a des fois un ange qui passe. Il fait si bon dans notre impasse. Il fait si bon dans notre impasse. On effleure un soulagement passager, mais les murs n’ont pas de serrures. Il faudrait les casser pour aller de l’avant. Il faudrait apprendre a se taire, ou à s’écouter. Mais dans le fond le froid à raison, ne pas bouger est bien mieux. Le non-mouvement fera peut-être tout changer. Un jeux qui en vaut la chandelle n’est pas vraiment un jeux au mieux un besoin, des yeux dans les briques. Le ciment ne dit pas que la vérité, elle est sans doute ailleurs. On a cherché des réponses, on a trouvé des solutions, mais les médicaments n’ont pas fonctionné. Il fait si bon dans notre impasse, faudra peut-être que tu y passes. Il fait si bon dans notre impasse, il y a des fois un ange qui passe. Il fait si bon dans notre impasse. Il fait si bon dans notre impasse. Dans le soucis d’aller toujours de l’avant, on se casse les dents. Il y a mieux pour mordre la vie, un dentier mécanique commandé par téléphone, les saveurs seront transmises lors du rapport hebdomadaire de votre application préféré. Oublier le goût de la pierre fraîchement mordue, la vie d’un inconnu qui s’étale face à soi. Enfermer dans ces propres choix, les envies qui se solidifies, des ambitions qui s’estompent. De nouveau murs qui se dressent, une impasse qui se construit de toutes pièces. On est si bien dans notre impasse… ça fait un peu peur alors on laisse faire. On voit son propre enfer s’ériger, on devient amis avec notre diable on s'abîme dans l’abysse, on est si bien dans notre impasse, de l’autre côté du murs c’est comme un masque qui sourit au monde alors que dedans c’est No-comment. Mais qu’importe, c’est ce qui transpire qui est important, nous sommes si bien dans notre impasse, quoi qu’il s’y passe. Peu importe qui s’y efface. Les rires au-delà des murs sembles faux, tout est factice. On est si bien dans notre impasse… On est si bien !

Je passe des tests Se déplaire, se détester, se tester, s’échouer, s’empiffrer, s’empâter, se déplaire, s’apprécier, se rendre précieux, se luxurer, se décliner. Te croire sur parole, te faire confiance, te suivre, te perdre, te voir de loin, te déprécier, t’attendre, t'entendre tituber. Je suis le mieux que l’on puisse faire, mais je suis infini, comme dieu, quel dieu ? Dieu de mes deux. Croire en l’invisible est une démonstration scientifique, s’effriter pas à pas, croire et devoir le prouver. Je passe des tests. Je pose des textes. Un jour de plus sans queue ni queue, rapporter des information aux autorités, se faire justice, sa peine capitalisé dans des schémas, je suis la tolérance, la résistance s’organise autour du contact, une bobine électrique. Je passe des tests. Je pose des textes. Épileptique de l’interrupteur, se faire meilleur, tricher sur la toile est autorisé, prédateur, trouver des filles jolies dans des lieux sales. Se poser des questions, attendre des réponses, admettre ses torts est interdit, interdit d’être plusieurs personne, interdit de faire semblant, je suis en tors, se trouver au milieu de tirs amis, ne rien comprendre, appréhender la suite comme une douleur dans le noir. Je passe des tests. Je pose des textes. Faire confiance en ces oreilles, êtes vous prêt à être identique ? Les matelas seront les même pour tout le monde, pas de différence. Une amitié en béton peut se fissurer. Devenir instable, être la faille. Le maillon inexistant. Inquiet, peureux dès demain. Soumettre son désarroi, et le payer toujours plus cher. Alors ? Je passe des tests. Je pose des textes. Je passe des tests. Je pose des textes. Je passe des tests.

Averse inverse. Ne plus manger. J’ai de la douleur a offrir D’accord, nous Pourrir Ne plus manger. Livrée, emballée sommes anonyme après le temps Pas par choix mais par déposé devant n’importe en pratique… obligation… quelle porte, on y mettra oui, j’ai bien un avec dans les ...obligation économique le feux, une joie dans la profil qui ne dents se fondre dans l’anti lueur d’étincelle, une correspond pas une lame matière et devenir vengeance gratuite au gabarit global en forme transparent s’effacer de la sonner, courir, se cacher d’une société que de vengeance surface devenir encore attendre pour rire, je ne comprends moins quelques chose. l’inconnu sortira dans son pas toujours. Comme mon Être son propre négatif, Peignoir mauve argenté oui, mais c’est de avant-grand-père être son même son piétinera le foyer naissant la faute a cette téléphoner déphaser donc être là éclaboussera tout autour dernière. Inonde avec des mais ne pas être là de lui, portera plainte notre cerveau de lettres quand même contre X, il aura alors chose dont on en en avoir marre une chance de rencontrer à rien à carrer. Retranscrire pouvoir ne plus vouloir sa mère porteuse, accoucher Vous pouvez jeter les mots privilège de bipède dans la douleur, né sous X. vos cadavres ici, des autres sensiblement réfléchis Il lui extorquera de l’argent en ce moment il avec la refusé mais attendre à la pelle, elle fera appel y a une action sur ferveur encore un peu. Signera de procès verbal les scandales en du violeur Avoir peur du changement avec son sang, d’une main tout genre. En ce d’intimité maintenant ou plus tard tremblante, et incertaine moment, j’ai du tiré des mettre de côté ses rêves elle portera un chiffre plomb en plans culs admettre avoir fait faux. Sa maison est une cellule gemmation dans sur la Merci de laisser un message verte. Dans le verger de le crâne. c’est commode a mon subconscient, la prison, elle cultivera compliqué, je je suis absent, sa propre douleur. l’arrose de songes Incommodé mettre de l’argent l’arrosera de ses peines. sombres, et les autres de côté, devenir essayera avec ces veines. l’incendie inversera quelqu’un d’autre on l’enfermera encore plus la tendance. Il est avec des effluves à coups de substance fort entre des murs plus encore temps pour une écharde dédié depuis épais. Les jours sauver les meubles entre les deux la décadence. d’anniversaire, on écrasera il faudra juste les yeux « mais c’est comme ça du pieds un gâteau vider avant. Réponse que je me sens bien, enflammé devant la porte artisanal sur mesure Ruiner son pays je me sens mieux, qu'elle ne pourra ouvrir. Pour une finalité en gagnant que la vie prend Grossesse nerveuse. Exécrable. On fait au lotto son sens ». un scrabbles ? Un bingo la vie prend son Mes mots content pour manchot sens dans le non-sens triple, quand le ultra tapette je n’ai jamais eu besoin silence gagne. à mouche de substances pour Fixé le mur automatique m’en convaincre Fixé aux murs des sur vérin essayer pour faire mots qui donnent hydraulique comme les autres du courage. interdit égal cool Home sweet home égal illégal souvent je me sens chez moi je m’en fous. Mais jamais Rien a battre des autres vraiment. fermer la merde c’est moi la porte à clé, baisser qui la génère même que les stores et regarder des fois ça dégénère à travers les lamelles ça perds du poids, pour essayer de l’importance. De voir à travers Ne plus être là, fondre les lamelles des stores mettre les doigts dans la pris des voisins. les pieds dans l’eau cacher dans les plantes être connecter à un serveur non connecter. Régime pour l’été. Comment perdre le surpoids qui pèse sur l’âme? Truc et astuce de nos psychologue au rabais. Prince charmant recherche déviance pour être plus ou moins normal. Princesse cherche à apprendre la chimie pour faire du chloroforme et accomplir un rêve. Overdose. La cave a une capacité d’environ 4 tombes et 2 cellules 1/2. le billet pour un monde meilleur coûte plus cher qu’une thérapie de groupe. Forfait diagnostique à la demande. Problèmes mentaux printemps/été. Jouer avec ces propres règles. Vos névroses seront exposé au centre ville et feront l’objet d’une émission télé. Vos droits, ne vous appartiennent plus. Le contrat a été signé. Faire marche arrière semble impossible. Producteur exécuté sur la place publique. Alors on refuse, on en veut plus. Taper du même poing sur plusieurs tables. Refuser ? Ou en vouloir plus ?

Vis sans faim. Parler au murs, parce que les murs ont des oreilles. Psychanalyste maison. Suivre des cours sur le web. Apprendre par cœur ces punitions. un peigne pour les poils dans la main. Entretenir la flemme. j’ai mis mon estomac dans les talons de quelqu’un et tourner 7 fois la langue dans sa bouche Adoucisseur de rétine pour faire les yeux doux. Leurs mettre des rideaux pour cacher l’âme. Cinq esprit sain dans un seul corps. Mettre la main a la patte d’un animale et se greffer des griffes. l’eau de vie à la bouche. Prendre son pied et le mettre en travers de la gorge Joindre avec une vis sans fin des idées qui n’ont pas de début. Joindre avec une vis sans fin des idées qui n’ont pas de début. Joindre avec une vis sans fin des idées qui n’ont pas de début. Joindre avec une vis sans fin des idées qui n’ont pas de début. Du cul au Q.I., il n’y a que des points sur les « i ». l’indice de masse corporel se déduit des impôts. Génuflexion remplacera la réflexion. Implant de carrière, nez-à-nez avec son reflet déformé. Speed dating. Se mettre à dos les murs qui nous entours. Mordre la brique. Écrire à l’encre d’échine dilué à la sueur de son front. Mise en jambe, sourire à la vie, contre l’avis de son médecin. Tellement tourner les talons que l’on tourne de l’œil. Joindre avec une vis sans fin des idées qui n’ont pas de début. Joindre avec une vis sans fin des idées qui n’ont pas de début. Joindre avec une vis sans fin des idées qui n’ont pas de début. Joindre avec une vis sans fin des idées qui n’ont pas de début. Juste un doigt d’ironie, mettre un point d’honneur pour les sarcasmes. Carcasse, traîner sa carapace dans la boue des quatre coins du monde. La musculature d’un squelette avec un rubis sous l’ongle. Le coeur dans la main remplacé par une pierre chirurgicale. Des mines anti personnel pour toutes les zones érogène. Des gènes a manipuler pour avoir plus de flaire en affaires. Entretenir sa foie avec de la picole anti-sceptique. Anti corporation. Globules rouge pâle, nous sommes tous de grand malades ! Joindre avec une vis sans fin des idées qui n’ont pas de début. Joindre avec une vis sans fin des idées qui n’ont pas de début. Joindre avec une vis sans fin des idées qui n’ont pas de début. Joindre avec une vis sans fin des idées qui n’ont pas de début. Caresser ces neurones qui ronronnent sur les genoux. Extraire le silence de ces oreilles avec un tournevis. Maladie anonyme, besoin d’insuline. Dans la solitude on fait pleins de belle théorie. Enjamber les principes, symptômes, hématomes. Des noms scientifique embrasser sur un forum informe. Être en mauvais forme, acheter du formol. Cryogénie préventive, à l’étroit dans son propre congélateur. Joindre avec une vis sans fin des idées qui n’ont pas de début. Joindre avec une vis sans fin des idées qui n’ont pas de début. Joindre avec une vis sans fin des idées qui n’ont pas de début. Joindre avec une vis sans fin des idées qui n’ont pas de début.

Peut-être Peut-être que ça sera la bonne. Une bonne raison d'arrêter de faire autre chose De tourner la page ou retourner la bibliothèque. Retrouver des cadavre de poche et aller de l'avant Dans l'arrière pensé, de l'engrais à mauvaise idée De la suie dans les idées une scie pour partitionner les déviances et mieux les digérer Cultiver les sucs gastrique avec une gastronomie indigeste plus un geste ma digestion est en panne d'inspiration n'essayez pas de faire ça chez vous, faire mieux est toujours possible servir sur un plateau les cendres de nos envies raturer des mots, leurs mettre des pattes supplémentaire devenir un monstre pour toujours, la télé dira la vérité a ton subconscient et même si tu n'y crois pas la petite voix dira des slogans super vendeur ïl manquera des partie, de la censure expresse les robots s'amuse comme des fous ils font une partouze sans risque avec un bon anti virus / Ils ne risquent rien avec une bonne ventilation / Ils ne risquent rien avec un bon programmateur / Ils ne risquent rien avec une panne général / Ils ne risquent rien avec aucun humain dans l'équation / Ils ne risquent rien Peut-être que ça sera la bonne. Une bonne raison d'arrêter de faire autre chose De tourner la page ou retourner la bibliothèque. Retrouver des cadavre de poche et aller de l'avant Dans l'arrière pensé, de l'engrais à mauvaise idée le trapèze irrégulier du fait de mes pensées durant l'inactivité cérébrale rends ce texte insensé il semble que tout soit a refaire une terre à recultivé, une rivière a remplir ou à détournée une montagne a déplacer dans un autre pays, tracé sur une feuille imaginaire les lignes fictive d'une fuite, en rêver la nuit au ralentis, une explosions de saveur faire peur a sa peur, avoir l'ennuis de l'ennuis Peut-être que ça sera la bonne. Une bonne raison d'arrêter de faire autre chose De tourner la page ou retourner la bibliothèque. Retrouver des cadavre de poche et aller de l'avant Dans l'arrière pensé, de l'engrais à mauvaise idée dix bonne raisons d'avoir peur manger du remords matin midi et soir la tête des grand soirs, des sourirs idiot, attendre se faire un petit trous dans le crâne penché la tête, laisser couler et déceler des mot comme des taches d'encre de psychologue inverser inversion de couleur dans une cerveaux morose, une ville qui n'en est pas une refusera l'entrée a des gens qui ne sont pas assez bien habiller et un client en laisse chit plus souvent qu'un arbre libre... coïncidence ? Peut-être que ça sera la bonne. Une bonne raison d'arrêter de faire autre chose De tourner la page ou retourner la bibliothèque. Retrouver des cadavre de poche et aller de l'avant Dans l'arrière pensé, de l'engrais à mauvaise idée

Partir Partir pour aller où? A l’autre bout du monde ? Et si les conspirationnistes avaient raison au bout on tomberait dans le vide Partir pour aller où ? A l’autre bout du monde ? Et si les conspirationnistes avaient raison au bout on tomberait dans le vide la galaxie est un énorme disque dur, les sphère ça n’existe pas, ou alors dans les dimension des fantômes, des spectres et des ectoplasmes. Partir dans un pays imaginaire où personne pourra me suivre, les divagations à la chaînes, peut être encouragé par le besoin de s’échapper. Tellement s’enfouir, je ressortirai de l’autre côté, j’irai trouver la naïveté comme un touriste devant un monument historique a prendre des photos, acheter des souvenir et à baver des dents Partir pour aller où? A l’autre bout du monde ? Et si les conspirationnistes avaient raison au bout on tomberait dans le vide Partir pour aller où ? A l’autre bout du monde ? Et si les conspirationnistes avaient raison au bout on tomberait dans le vide Partir, pour aller partout, un tour du monde en sandalettes, allier le goût des voyages et la performance, faire toute les connerie du monde à un seul endroit. l’enfer c’est pour les autres, un voyage organiser avec les pieds, les cultures local c’est le top du top ! Revenir après un laps de temps, plus ou moins court, distortion mental temporel, et vouloir repartir, peut-être jamais revenir. La conspiration nous rattrape il y a un crédit à rembourser, je ne vais même pas partir alors je prie pour que la terre reste plate. Partir pour aller où? A l’autre bout du monde ? Et si les conspirationnistes avaient raison au bout on tomberait dans le vide Partir pour aller où ? A l’autre bout du monde ? Et si les conspirationnistes avaient raison au bout on tomberait dans le vide au bout on tomberait dans le vide au bout on tomberait dans le vide

FACIAL une bougie de plus sur mon gâteux âge / et rendre ses années d'apprentissage au maître Parkinson / boire l'équivalent de décennie d'ivresse au nom du principe de profité du jour présent / comme si l'on avait déjà oublié celui d'hier... / les pertes de mémoire sont formidable, chaque jour / pendant une fraction de seconde on peut se trouver beau. risque d'oublier de mentir, sourir de travers, une hymne au idées tordue. Les nouvelles sont des souvenir en construction, une aberration. effrayant avenir qui se forme en déformant le reste du monde que l'on s'est fabriqué de toutes pièces. des mémoires presque vives. un moral à vendre, une manière de dire que rien à une âme, vide de substance. une idée en facial, de l'amour en frontal, des propos en anal, des fait divers, des flash infos, de la peur, avance connard, ton manque de mouvement nous empêche de perdre notre temps. de la merde dans les yeux, de l'aigreur dans l'âme, de la suite dans les idées une allée sans issue, un cul de sac, un sac à mauvaise actions, avoir du sang sur les gants, sentir les gens bouger dans sa bile, vomir, ------------------------------------------------------- acheter une conscience au prix d'un confidence, faire confiance en sa banque, un dentiste pour aiguiser les canine humaine, paraître méchant, se faire une place, mordre la vie à pleine dent alors que ne nous a rien fait. une idée en facial, de l'amour en frontal, des propos en anal, des fait divers, des flash infos, de la peur, avance connard, ton manque de mouvement nous empêche de perdre notre temps alimenter la vengeance, regarder le cerveaux des autres au travers leurs yeux, contempler les songes baignant dans leurs propre selle, se mettre la gueule de travers, oublier, prier pour des inconnus, vendre sa peau pour s'acheter le nouvel écran plat. partager l'insignifiance et ses amis insignifiant. les plaindre, la mort en direct live, surmonté de fond sonor constitué de violons et de gamme mineur dosé au kilogramme, une idée en facial, de l'amour en frontal, des propos en anal, des fait divers, des flash infos, de la peur, avance connard, ton manque de mouvement nous empêche de perdre notre temps. (2x) Une salle vide, un bloc opératoire pour mental défaillant, bienvenu dans la faille ou le trou de serrure qui n'ouvre sur rien, mais quand on regarde à travers, en transparence, on pourrait presque voir plus loin, voir sans être vu, se faire cuire un oeuf, nous sommes d'une manière ou d'une autre l'ennemi de quelqu'un, jalousie, hypocrisie, notre propre monstre, nous vendons de la merde à nos yeux, nous avons de l'aigreur dans l'âme à partager, accrocher à des principes qui ne nous appartiennent pas !